Association Humanitaire Kankélé
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Lorsque nous avons quitté le poste de gendarmerie de Nioro du sahel vers 7 heures ce matin, nous avions comme objectif d'aller jusqu'à Bamako. Mais la route étant bonne, à midi, les faubourgs de la ville étaient en vue. Nous avons donc décidé de pousser jusqu'à Ségou.

La traversée de Bamako est toujours un sport à la limite de l'extrème et le nuage de pollution ne fait qu'augmenter.

Après une heure de slalom entre les mobylettes, les voitures, les bus, et le reste (carrioles à ânes, ...) nous retrouvons une route plus tranquille vers Ségou.

Premiers baobabs : nous sommes bien au Mali !

Après une "petite" journée de route de 650 km "seulement", nous atteignons le paradis en trouvant une chambre confortable et une douche bien chaude.