Jeudi 15 décembre : La nuit est déjà tombée sur Ouagadougou lorsque nous rentrons. Nous retrouvons Gabin et Marcel, deux « petits protégés » de Marine, qui leur avait fait parvenir un peu de matériel par l'intermédiaire du convoi. Vendredi 16 décembre : La bonne qualité du revêtement routier de la première partie du parcours, change brutalement, cinquante kms avant la frontière... L'état de la route déjà très abîmé l'an dernier s'est encore aggravé. La vitesse maximum tolérée par le véhicule est de 40 km/h ! La mécanique souffre et les dos également. Le cauchemar va durer sur plus de 100 km. |